Product Management Responsable : le guide d’action (2/2)

Convaincre et embarquer dans l’éco-conception

Les grands groupes se mettent, avec plus ou moins de ferveur, en ordre de marche pour anticiper les changements environnementaux et réglementaires à venir et s’intéressent ainsi au Product Management Responsable. Pour autant, cela ne garantit pas que toutes les équipes auront les ressources pour monter en compétences et encore moins que tous les départements seront embarqués. Avez-vous déjà entendu les phrases “C’est un truc pour l’IT” ou “On met ça en place au Design” ?

Passage en revue des arguments pour convaincre que l’éco-conception n’est pas un sujet annexe à reléguer à l’équipe XY. C’est un objectif commun qui requiert une approche pluridisciplinaire.

Si besoin avant de plonger, consultez notre première partie dédiée à la définition du Numérique Responsable.

Les arguments Impact Business / Valeur utilisateur du Product Management Responsable

Méthode testée et approuvée par les consultant·es Monsieur Guiz : abordez la question par l’angle de la performance et travaillez à associer un gain chiffré à la mise en place d’une politique de numérique responsable.

Etape 1 : Réalisez une matrice d’analyse de l’environnement PESTEL adaptée à votre secteur. Le principe de la matrice est le suivant : pour chaque axe listé ci-dessous, identifiez des évènements majeurs dans votre environnement (une nouvelle loi, un phénomène social, une innovation de rupture, une crise économique…).

Les axes du PESTEL :

  • Politique
  • Économique
  • Socioculturel
  • Technologique
  • Environnemental
  • Légal

Etape 2 : Une fois muni de votre PESTEL, déduisez-en ce qui constitue, pour votre entreprise des Risques ou des Opportunités. On part du macro (ex : la loi REEN et la publication du RGESN) et on identifie soit un Risque, soit une Opportunité. Par exemple :

  • ”Le référentiel RGESN n’est pas suivi par notre service numérique”
  • ”Nous serions les premiers de notre secteur à le faire”

Pour appuyer votre propos, relevez tout ce qui fait les Forces de votre entreprise, ainsi que ses Faiblesses. Vous l’aurez reconnue, c’est la matrice SWOT (Strength, Weakness, Opportunities, Threats).

Reprenons notre exemple, une Faiblesse peut être : “Nous n’avons pas l’expertise en interne pour piloter une démarche d’éco-conception”. Une Opportunité pourrait, elle, être : “Nous avons des personnes prêtes à monter en compétences pour constituer une Task Force”.

💡 Conseils pour une analyse PESTEL efficace

✅ Pensez plutôt entreprise que produit, c’est ce qui sensibilisera le mieux vos décisionnaires. Pour le plaisir de vous mettre un exemple idiot : ”J’ai identifié que la Gen Z était sensible à l’éthique et il se trouve que nous avons besoin de rajeunir notre cible”. Cela fonctionne mieux que “Moi, sur MON produit, j’aimerais bien qu’on se calme sur les langages voraces en énergie parce que la planète brûle, tu entends, BRÛLE ?!”

C’est pas le tout d’avoir raison si on n’est pas entendu donc, atteignez le petit cœur de vos décisionnaires en visant la stratégie d’entreprise plutôt que votre bidule à vous (c’est comme ça qu’ils perçoivent votre produit, ne vous leurrez pas).

✅ Complétez votre travail d’analyse préparatoire avec PESTEL et SWOT de données quantitatives et qualitatives pour ne garder que des constats vérifiés.

Idéalement, vous pouvez vous faire aider d’autres fonctions de l’entreprise pour fournir une estimation de ce que représenteraient les gains et risques de perte, pour l’entreprise, à ne pas adopter de démarche d’éco-conception.

✅ Faites un benchmark et une veille concurrentielle poussés : il est probable que de bonnes pratiques soient à piocher ailleurs ou… Que la concurrence vous ait déjà devancés. Auquel cas, cela vous fera d’autant plus d’arguments pour convaincre qu’il est temps d’agir.

✅ Créez des ponts entre départements, même éloignés du Produit. Car il vaut mieux se coordonner pour réfléchir à des actions plutôt que de vouloir faire rentrer ça au chausse-pied dans votre Roadmap tout seul, comme un·e forcené·e. Cela donnera plus de portée et vous ouvrira des perspectives d’amélioration Produit inattendues.

💡 Tous les conseils pour structurer au mieux cette partie exploratoire
Retrouvez ici la méthode complète pour aligner les équipes, élaborer une vision claire, anticiper les risques et optimiser ses ressources : Concevoir son Release Plan.

Les bénéfices d’un service numérique plus léger à l’impact contrôlé pour l’organisation

La réduction des coûts de maintenance et d’hébergement

Qui dit produit plus léger et performant, dit optimisation des ressources et réduction des coûts d’hébergement et de maintenance. Par où commencer, en tant qu’équipe Produit ?

Vous pouvez, avec des outils comme JPEGMini ou Kraken.io, réduire le poids de vos fichiers, limiter la vidéo (qui représente 80% de la bande passante (sans même parler de l’aberration de l’auto-play).

Des solutions comme HTML Compressor, Varnish HTTP Cache et CloudFlare aident à limiter le nombre de requêtes par une meilleure utilisation des caches ou la combinaison de fichiers.

Autres pistes pour alléger le produit ou service numérique

👉 Des actions comme le remplacement de l’auto-complétion par la saisie assistée limite également le nombre de requêtes.

👉 Définissez des seuils à ne pas dépasser pour vos fonctionnalités (taux de compression, temps de réponse). En évitant la surenchère, par exemple sur vos contenus appelés en home et en les limitant à 3 plutôt que 12, vous pouvez déjà jouer sur votre infrastructure.

👉 De plus, toutes vos typologies d’utilisateur n’ont pas besoin d’accéder à l’ensemble indifférencié de vos contenus dans tous leurs contextes d’utilisation.

Méthodes de collaboration éco-responsables

C’est le moment de collaborer avec votre Lead Dev pour intégrer l’Ethique à vos outils de priorisation. La limite des outils existants (MOSCOW, RICE, Kano) c’est qu’ils soupèsent principalement le temps et l’effort.

En effet, ils n’autorisent pas d’ajouter facilement ce critère qui fait pourtant partie de ceux listés par Marty Cagan dans sa définition des critères du “bon” produit ou de la “bonne” feature à développer :

  • Qui délivre de la valeur à l’utilisateur
  • Utilisable
  • Faisable
  • Viable (en termes de budget)
  • Éthique

Une matrice Impact / Effort / Sustainability, telle qu’imaginée Peter Stovall, ajoute en ordonnée l’impact environnemental. C’est une des nombreuses solution pour communiquer sur le poids de certaines décisions.

Une autre méthode peut être, en Sprint Planning, d’attribuer outre un nombre de points aux User Stories, une notation par points d’impact environnemental.

Une démarche de Numérique Responsable favorise l’optimisation SEO

Une extension Google Chrome permet d’identifier dès la page de résultats les sites conformes au RGAA. On peut imaginer un équivalent à court terme pour le RGESN (ou une note EcoIndex affichée en Home), qui s’adresserait aux utilisateurs pour qui c’est un critère de préférence.

Pour compléter ce point puisqu’on parle de Google, vous avez deux façons d’améliorer votre classement Google avec l’éco-conception :

  • La popularité du site. Cet indice peut bénéficier d’une optimisation de l’efficience pour l’utilisateur
  • Le budget crawling qui sera aussi amélioré en limitant les requêtes et en réduisant profondeur du site et nombre d’URLs.

Auditer pour optimiser l’existant

La Checklist GreenIT

Notre préférée, la Checklist GreenIT en 115 points qui attribue un score de maturité à votre produit. C’est non seulement un bon outil pour évaluer son service numérique, mais aussi une feuille de route dans la conception et le développement des services à venir.

Chaque item, attribué à un·e responsable selon l’étape, est assorti d’une règle de validation claire, ce qui en fait un outil facile d’appropriation par l’équipe Produit.

Le référentiel RGESN de la DINUM

Ce référentiel copiloté par la DINUM, l’ADEME, l’Institut du Numérique responsable et le Ministère de la Transition écologique auquel ont participé des acteurs comme GreenIt ou Temesis, commence par poser un cadre stratégique à l’audit. Première question de vérification : le service est-il utile ?

L’outil associé NumEcoDiag permet d’auditer son site en 80 critères, par exemple :

  • Le service numérique est-il utilisable sur des terminaux âgés de 5 ans ou plus ?
  • Le service numérique a-t-il été conçu avec une revue de conception et une revue de code en ayant pour un des objectifs de réduire les impacts environnementaux de chaque fonctionnalité ?
  • Le service numérique a-t-il pris en compte les impacts environnementaux des composants d’interface prêts à l’emploi utilisés ?
  • Le service numérique fonctionne-t-il sur une architecture pouvant adapter la quantité de ressources utilisées en fonction de la consommation du service ?
  • Le service numérique utilise-t-il majoritairement des composants fonctionnels natifs du système d’exploitation, du navigateur ou du langage utilisé ?
  • Le service numérique s’astreint-il à un poids maximum par écran ? A une limite de requêtes par écran ?
  • Le service numérique a-t-il recours à un système de cache serveur pour les données les plus utilisées ?

📌 Autres outils

Bonnes pratiques du Product Management Responsable

Les Sustainability Features

Il est tentant de vouloir commencer par des « Sustainability Features » avant d’optimiser l’existant pour aussitôt communiquer sur sa nouvelle politique d’éco-conception auprès de l’utilisateur.

Google Maps affiche l’empreinte carbone par trajet, certains acteurs du e-commerce celle des modes de livraison. Des acteurs comme comme Electricity Maps proposent de mesurer pour vous l’empreinte carbone de vos produits ou services et de la communiquer à vos utilisateurs… Ces Sustainability Features sont les nouveaux avantages concurrentiels.

Le tout étant de ne pas tomber dans le greenwashing, aussi est-il primordial de ne pas faire l’impasse sur l’optimisation.

Optimiser son produit numérique en faveur de l’éco-conception

👀 Les éléments à revoir en équipe pour optimiser son produit numérique :

Thèmes Produit à considérer avec les stakeholders

  • Est-ce que nous avons défini les cibles utilisatrices à partir d’attentes réelles ?
  • A-t-on identifié des indicateurs de mesure ainsi que des objectifs de réduction d’impact ?
  • Est-ce que nous avons déterminé une politique d’éco-conception ?
  • Le Produit s’adapte-t-il à différents terminaux et peut-il fonctionner sur des équipements de plus de 5 ans ?
  • Est-ce que nous avons mis en place une stratégie de réduction des fonctionnalités non utilisées ?

✅ Thématiques de Product Management Responsable en collaboration avec les Product Designers

  • Le Produit est-il accessible à bas débit ?
  • Est-ce que certaines pages, comme la Home, proposent un scroll infini ?
  • Est-ce que des alternatives textes et images existent aux contenus vidéo et audio pour véhiculer l’information ?
  • Utilise-t-on des polices du système d’exploitation ?
  • Les champs de recherche proposent-ils de la saisie assistée ou de l’auto-complétion ?

👉 Pour aller plus loin sur les sujets UX/UI et éco-conception, consultez notre article Pourquoi concevoir de manière responsable en tant que designer ?

✅ En collaboration avec l’équipe de Développement (sujets Architecture, Front et Back)

  • Des revues de code visant la réduction d’impact sont-elles planifiées ?
  • Les ressources sont-elles adaptées au contexte utilisateur ?
  • Les mises à jour correctives sont-elles mises à disposition indépendamment des mises à jour évolutives ?
  • Les pages sont-elles astreintes à un poids maximum ?
  • Le nombre de requêtes par page est-il astreint à un seuil à ne pas dépasser ?
  • Un mécanisme de mise en cache a-t-il été mis en place et des techniques de compression sont-elles adoptées ?
  • Une durée de conservation des données et documents est-elle définie ?

✅ En accord avec la DSI

  • L’hébergement choisi est-il signataire du Code de Conduite européen sur les Datacenters ou ayant une démarche de réduction de son impact écologique ?
  • Est-ce que l’énergie renouvelable est utilisée pour alimenter les serveurs ?
  • Quelle est sa politique de l’hébergeur en termes réutilisation de la chaleur fatale à des fins de chauffage ou d’électricité ?

Recentrez sur le besoin utilisateur pour un Product Management Responsable cohérent et efficace

Oui, on le sait, c’est la base de notre métier. Plus sérieusement, selon l’Ademe, 70% des features demandées par les utilisateurs ne sont pas essentielles à l’exécution d’un service. Cesse-t-on pour autant de tout faire ? Non, mais ce chiffre indique quand même qu’il y a quelque chose à challenger.

Ce faisant, vous réduisez coûts de développement, dette technique et donc infrastructure tout en rendant plus lisible votre produit.

Teresa Torres, dans Continuous Delivery Habits, rappelle qu’on ne lève pas le stylo après la phase de Discovery. Celle-ci, qui se poursuit en continu, amène à poursuivre les entretiens utilisateurs et la récolte de feedback pour identifier les features inutilisées, et donc qui ne délivrent aucune valeur.

Si vous pensez à l’application que vous utilisez le plus fréquemment, est-ce que c’est un déluge de fonctionnalités ? Même si la réponse est oui, combien utilisez-vous réellement ? Misez sur la sobriété fonctionnelle, votre produit doit faire son job. Un parcours utilisateur optimisé, fluide, lui permet de l’exécuter rapidement et sans distractions.

Le plus probable est que vous soyez d’abord dans une démarche d’optimisation avant de piloter un projet d’éco-conception depuis le MVP (quoique, cela arrive dans des organisations dont c’est d’emblée le positionnement stratégique). Vous ne pourrez pas tout optimiser à la fois, il faudra opérer des choix et les prioriser dans votre Roadmap.

La matrice BCG du Produit responsable pour décommissionner des features

Une méthode complémentaire peut vous aider à déterminer les fonctionnalités inutilisées à supprimer. C’est l’identification des “poids morts”, selon la matrice BCG illustrée ci-dessous :

C’est une version adaptée de l’originale. On a remplacé “Rentabilité” par “Besoin Business” et “Croissance du marché” par “Impact utilisateur” pour correspondre à notre contexte.

Utilisation de la matrice

Vous pouvez l’utiliser pour vos Produits ou vos Features. Ici, dans l’exemple des Features :

  • Les étoiles montantes : elles délivrent de la valeur utilisateur et correspondent à un besoin business. C’est tout ce qu’on veut, tout le temps, dans un monde idéal. L’objectif est de les cultiver pour en faire des vaches à lait (voir la suite).
  • Les dilemmes : elles correspondent à un besoin utilisateur mais leur valeur business est faible, si ce n’est nulle. Elles peuvent indiquer un dés-alignement en équipe. Elles peuvent aussi constituer un choix délibéré de l’entreprise de les proposer sans rentabilité à la clé.
  • Les vaches à lait : Ce ne sont pas les petites nouvelles toutes brillantes qui captent de nouveaux utilisateurs et font votre renommée. Peu importe, elles représentent une valeur business et font tourner la machine. L’enjeu est de surveiller la demande pour qu’elles ne se transforment pas en poids morts.
  • Les poids mort : pas de besoin utilisateur et pas de valeur business. Ce sont celles-ci que nous vous proposons d’intégrer dans votre plan de sobriété fonctionnelle.

Il est probable que votre premier pilotage de projet d’éco-conception ne porte pas sur une création de Produit et que vous commencerez par de l’optimisation. Hormis dans les cas où la responsabilité environnemental fait partie du Business Model de votre entreprise dès le départ.

Vous ne pourrez pas non plus tout optimiser à la fois (ou alors, bravo). Commencer par définir votre plan d’actions pour les fonctionnalités non utilisées et les passer au crible du besoin utilisateur / valeur business est une excellente façon de débuter. Cela mobilise des savoir-faire déjà existants dans une Scrum Team et donne une feuille de route claire pour vos échanges avec les Stakeholders.

👀 A l’étude : un cas réel d’éco-conception

Exemple vie réelle Sortie en 2020, la v3 Simplonline, le Learning Management System (LMS) de l’organisme de formation Simplon.co est éco-conçue et accessible. Le studio de Design 40/60 et les Référents Accessibilité de Temesis ont accompagné sa conception.

Ce LMS n’intégrait pas de vidéo et avait opté pour ne pas faire de gamification, en accord avec les objectifs stratégiques d’éthique, d’accessibilité et d’inclusion de l’entreprise.

Une hausse du temps moyen passé n’était pas considérée comme positive. Le parti pris était d’avoir un parcours qui permette à l’utilisateur de faire précisément ce qu’il est venu faire, sans le retenir plus que nécessaire et sans le faire revenir pour d’autres motifs que notre capacité à le convaincre de l’utilité du produit (re : pas de gamification).

Sobriété fonctionnelle : utilisez la règle des 3 U

Utilisez la règles des trois U – Utile, Utilisable et Utilisé- pour déterminer si développer une fonctionnalité (dans un monde merveilleux sans autre contrainte). Cela simplifie les 5 critères de Marty Cagan pour arbitrer un développement tout en conservant l’esprit d’origine.

Un excellent exemple fourni par Julien Wilhem (Temesis) est celui de la vidéo sur YouTube. La lecture d’une vidéo est-elle pertinente et utile dans tous les cas d’usage sur la plateforme ? Je me sers de l’application tout comme des millions de personnes, et tout comme probablement tous ces gens-là, c’est sans regarder plus d’un millième de secondes l’interface. Que faire avec intelligence de la vidéo dans ce contexte d’usage ?

Pour guider votre démarche vers une simplification et donc un Product Management Responsable efficace, la Loi de Gall vous servira à identifier ce qui est essentiel au fonctionnement de votre système et ce qui constitue une complexification superflue.

L’éthique comme North Star dans le Product Management Responsable

Enfin, pour fonctionner, une stratégie de numérique responsable doit se relier à une vision stratégique d’ensemble qui place l’éthique au cœur des considérations.

C’est seulement ainsi que les équipes peuvent être outillées pour mesurer l’impact de leurs choix de développement, arbitrer consciemment selon leurs priorités et disposer des ressources nécessaires pour monter en compétences. C’est l’unique approche pour repenser un business model qui permettra d’anticiper des mutations du marchés et enclencher des actions communes.

Nous parlons ici d’éthique comme objectif stratégique car il est prouvé (étude McKinsey de 2022) que les objectifs de développement durable, en plus d’aider la croissance plutôt que la freiner, sont intrinsèquement liés aux sujets de lutte contre les inégalités sociales. Adresser un c’est adresser l’autre (impact positif compte double du Product Management Responsable).

Mesurer sur la base d’indicateurs déterminés :

  • la démarche d’éco-conception (RGESN),
  • l’accessibilité du produit ou service (RGAA), et l’inclusivité,
  • le respect de la vie privée des utilisateurs (RGPD),

Participe à une démarche cohérente de produit éthique et responsable.

Pour conclure, nous empruntons les mots du Manifeste en 10 points pour un Product Management Socialement Responsable publié par le cabinet Gartner sur leur blog en 2021 :

Rejoignez la lutte.

Eva Luisa
Jiménez

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